Mardi 1 mars 2 01 /03 /Mars 07:44

 

 

Ce soir, j’organise dans un hôtel resto de renom, situé proche de la Capitale, au décor champêtre, une soirée particulière à l’insu de mon amie Berline.

 

Cela fait plus d’une année que nous abordons dans nos discussions avec Berline certaines pratiques érotiques avec en toile de fond la fessée. Eh oui !!! J’avoue …

Souvent nous souscrivons pour ce sujet voir même très, très souvent. Nos tabous tombent dans nos causeries puis laissent place à notre imaginaire. Ce dernier  va très loin, très très loin ! Plus d’une fois j’ai souhaité l’édifier réalité, attachée debout au milieu de la pièce bureau ou allongée sur le lit, à quatre pattes, membres libres, dans le salon ou dans la cuisine, mais dès les premières claques elle me suppliait de stopper l’épreuve en raison principalement de sa sensibilité physique. Comme mes sentiments vis-à-vis de Berline dominent, j’arrêtais à chaque fois la séance.

 

Alors via internet après pas mal de contacts avec diverses personnes, hommes, femmes ou couples, de tous fantasmes vous le pensez bien, je cible un couple qui me semble correspondre à mes critères. Je recherchais une personne ou un couple qui pratique la fessée avec un savoir faire reconnu mais surtout qui n’arrêtera pas ou n’arrêteront pas aux premiers gémissements de Berline.

Simplement de rêver d’une telle situation mes sens s’animent au plus profond de moi. Nos échanges via internet tournent régulièrement autour de pratiques sexuelles quel qu’en soit le contenu.

 

Je découvre l’activité professionnelle de ce couple le jour que Jean, mon interlocuteur, décide de nous inviter dans son hôtel pour expérimenter mes désirs. Et voila comment nous nous retrouvons avec Berline à passer une nuit à la campagne avec des mystérieux. – histoire réelle à + de 70 % -

 

Au fait, je nous présente, homme d’une cinquantaine d’années, pas grand 1 m 70 pour 70 kg d’allure sportive et ma petite Berline même âge, petit modèle, petite poitrine, belles fesses bien fermes, fitness oblige. Voilà ….

 

A notre arrivée, une femme bien propre sur elle, de ma taille, blonde, cheveux mi-long, taille fine mais poitrine présente, dans la quarantaine nous accueille. Elle nous invite à remplir les formalités d’usage avant de nous tendre les clés de notre chambre avec les égards de politesse que son poste demande mais sans plus.

Mon interrogation première : Est – ce elle ? Aucun signe extérieur ne laisse supposer quoi que ce soit ….

Tout l’après midi nous découvrons à pied l’environnement forestier qui s’ouvre à nous. Nous retournons à notre chambre la nuit tombante, prenons une douche puis allons au  bar déguster un verre avant de nous rendre au resto. Peu de monde, seulement quelques tables occupées, disposées de façon à permettre à la clientèle de profiter de la chaleur que dégage un feu de cheminée crépitant le bois sec.

Nous sommes raisonnables dans la boisson toutefois attention quand même entendu que nous ne buvons jamais pour ainsi dire. Le repas se déroule fort sympathiquement avec un service où discrétion, gentillesse et efficacité cohabitent.

Deux jeunes, une nana et un mec s’organisent à offrir aux présents un bien être de service.

Pendant toute la durée du repas je cherche des yeux un indice pour repérer mon contact. Rien, pas la moindre piste ne m’autorise un soupçon d’un signe. Aurai – je été mené en bateau ? Allez savoir ! Mais bon l’endroit est sympa..

Je vois bien la nana de l’accueil toujours présente mais en dehors d’elle rien. De plus elle nous ignore. En fin de repas le chef cuisinier comme dans pas mal de restos vient saluer sa clientèle du soir. Physique de cuisinier, pas d’âge, entre 40 et 50 ans, grand, cheveux courts avec un embonpoint affirmé, se répand d’une table à une autre avec convivialité.

Nous décidons de prendre notre café au bar avant d’aller nous cloîtrer dans notre chambre.

Ne voyant rien venir, je m’interroge sincèrement sur l’authenticité de mes échanges sur internet.

Toute cette démarche pour nous retrouver comme à la maison hormis le plaisir d’être à la campagne avec Berline. Cependant une personne est radieuse, Berline. Elle passe une très agréable soirée. La balade en forêt, le dîner dans cet ambiant environnant feutré la détendent.

Le cuisinier, je suppose comme avec tous les autres clients nous offre le digestif. En guise de digestif nous savoureux une coupe de champagne avant de rejoindre notre chambre.

 

Nous croisons la nana de l’accueil, à notre porte de chambre. Elle nous salue puis de but en blanc nous invite à prendre un dernier verre. Avec Berline nous nous regardons, mais j’accepte l’invitation sans attendre sa réponse  …Nous voilà tous les trois à quelques portes de notre chambre, installé dans le salon d’une suite.

La température de mon corps prend un coup de chaleur comme jamais. Le cuisinier nous rejoint avec une bouteille de champagne et 4 coupes. Il la débouche … nous sert. Berline est loin de s’imaginer ce qui se trame. La nana de l’accueil de son prénom Mireille, s’excuse mais souhaite aller se changer.

«  je n’en ai que pour 5 minutes »

Lorsqu’elle revient, grande surprise ! Elle échange sa tenue de travail par une surprenante tenue en cuir, talons aiguilles, bas résine noirs, jupe extra courte et petit gilet échancré, sans manche que trois boutons ferment arrogamment.

Berline regard interrogatif m’interpelle avec ses yeux … mais bon…

L’alcool doit aider sa décontraction.

Très vite notre conversation dévie sur de grands sous entendus. A j’ai omis de vous dire que Berline porte une tenue cool de week end, jean / tee shirt et tennis.

 

Jean – le cuisinier – se lève, son ventre est sincèrement imposant, puis disparaît dans la chambre. Il demande à Mireille de venir le rejoindre accompagnée Berline.

Simplement son souhait donné d’un ton ferme me communique une érection comme jamais.  Berline me regarde de nouveau, Mireille lui prend la main  pour l’inciter à la suivre. Je souris à Berline. Elles disparaissent.

Une dizaine de minutes plus tard sur conseil de Jean je rejoins tout ce petit beau monde.  La surprise c’est moi qui la découvre. J’observe une chambre aménagée avec seulement un lit dont la tête et les pieds sont en fer forgé. Une armoire en bois se tient majestueusement tout au fond à gauche.

J’observe surtout ma petite Berline au beau milieu de la pièce, bras écartés, attachés aux poignets par un système de poulies/cordes suspendu au plafond, bandeau sur les yeux et une boule dans la bouche pour l’empêcher de prononcer un mot. Ses jambes sont écartées par une barre en alu. d’un peu plus d’un mètre tenue à ses chevilles par des menottes. A mon arrivée Mireille se met derrière elle et l’avise.

 

- je te donne 20 gifles sur chacune de tes fesses. Jean comptera. Quand j’aurai terminé même punition petite salope mais cette fois c’est moi qui comptera, Jean distribuera avec ses grands battoirs de mains. L’atmosphère est silencieuse. Le visage de Mireille s’assombrit, Jean déboutonne sa chemise. Son ventre déborde de partout. La première gifle résonne. Berline l’accompagne d’un mouvement de corps pour l’amortir. Jean entonne d’une voix intelligible le UN. A la 20 ème gifles sur chaque fesse, Berline laisse apparaitre quelques larmes sur ses jouent. Jean prend le relai sans ménagement mais également sans laisser à Berline le temps de reprendre ses esprits.

J’assiste en bandant à un point que ma queue ne souhaite qu’une libération anticipée de sa geôle. Je n’ose !

Mireille prend grand plaisir à compter et voir les larmes de sa « soumise » inonder son visage. La première séance s’achève.

 

Mireille, comme un scénario bien huilé, sans un mot, monte de quelques centimètres la corde du plafond. Berline se retrouve ainsi sur la pointe des pieds exhibée à voisinage. Mireille lui déboutonne son jean, tandis que Jean libère ses chevilles de la barre d’alu. pour lui permettre de le lui ôter.

Voilà ma belle, chatte et fesses en devanture, prête à se soumettre, à souffrir et à jouir de plaisir à la demande des hôtes du jour. Jean lui réaménage la barre sur ses chevilles. De l’armoire il retire une petite tapette avec laquelle il lui claque ses entrecuisses à hauteur de son sexe, une vingtaine de coups sur chaque avant de la débarrasser de tous ses apparats.

 

Mireille lui ordonne de se mettre sur le dos dans le lit, jambes écartées …Elle s’exécute … tout en suppliant qu’on cesse cette épreuve.

 

Jean la regarde droit dans les yeux :

-          petite salope, voilà plus d’une heure qu’on s’occupe de toi … que tu prends plaisir et tu veux qu’on s’arrête … et nous dans tout cela ?

 

Mireille lui glisse deux doigts dans son vagin. La réponse ne se fait pas attendre.

«  Mais c’est une vraie rivière ….  sale petite pute de mijaurée … »

 

Je ne tiens plus, je me déshabille. Jean sans la moindre honte de son corps m’imite.

Mireille m’ordonne d’aller la sucer…. J’adore ….. Je ne me fais pas prier. Je délecte avec grand plaisir toute sa mouille et je vous confirme qu’elle est immense.   

 

Jean connaît son rôle de maître de la fessée sur la pointe des doigts. Il sort de l’armoire un petit martinet, attache les poignets de Berline - toujours sur le dos -, bras bien écartés à la monture de la tête du lit.

Ma petite Berline ne se prive aucunement de poursuivre sa jouissance dans ma bouche.

 

Jean prolonge sa séance en répartissant malicieusement avec le martinet, 20 petits coups secs sur chacun de ses seins protégés en la circonstance par son tee shirt et soutien gorge… Même régime de la part de Mireille dans leur partage des rôles … puis Mireille avec une paire de ciseau lui découpe le tee shirt et son sous tif… la voilà à poil ..

Des rougeurs apparaissent sur sa poitrine …..

 

Jean la détache puis la laisse récupérer sans qu’auparavant il s’autorise à sonder avec deux énormes doigts l’état d’humectation de sa chatte.

Pas de surprise sur le sujet, certes la douleur de la flagellation doit être encore présente néanmoins sa jouissance interne est manifeste.   

 

Suiteeeeeeeeeeeee ?????

 

Par laurence80 - Publié dans : Mes amis écrivent aussi. - Communauté : Récits Erotiques X
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Mardi 1 mars 2 01 /03 /Mars 17:36

10 Jours que je suis seule à la maison. Mon mari en déplacement, mon fils qui a autre chose à penser que de tenir compagnie à sa mère, Bref , la solitude pèse parfois. Pour mal faire coté boulot c'est plutôt calme et nos dirigeants nous conseil de prendre nos heures cumulées depuis quelques temps.

Une longue journée seule à la maison à divaguer entre ménage et envie , l'esprit vagabond, le corps meurtris de trop d'abstinence . Je me suis pourtant occupée malgré un réveil excité. Ménage, lessives etc. Une bonne douche sur les coups des onze heures . Fraîcheet dispo , une salade en guise de dîner, un petit café et je m'installe dans le divan, le pc portable sur les jambes pensant calmer un peu cette frénésie en me rendant sur des chats adultes et me mettant à discuter sans tabou d'activités bien loin de la cuisine.

C'est sur se site que je me met a discuter avec un Bernard . Sympa, polis, nous papotons prêt d'une heure de nos situations, de nos familles respectives avant de véritablement entamer un dialogue plus intime et excitant. L'homme est de la région se qui amplifie le jeu au fond et même donne un surcroîtd'excitation. Nous dialoguons une bonne partie de l'aprés midi, j'avoue même qu'il m'a poussé à remonter la jupe et me titiller le clito, tellement l'excitation gagnait du terrain. Visiblement notre imaginaire fonctionne très bien tout les deux . Nos envies, nos fantasmes , nos délires s'emboîtent merveilleusement bien les uns dans les autres. Je lui ai confiée quelques détails de ma vie. mariée , parfois en manque dut aux absences répétées de mon mari. mon attirance pour le voyeurisme et l'inconnu . Au file du dialogue on se retrouve à imaginer la scène ; Je suis dans une jolie tenue sexy avec bas talons etc.... (chose qui m'arrive régulièrement) je fais visiter un appartement à un client et là tout dérape.... La scène est coquasse , l'amour violent. Je m'abandonne au scénario tout en me caressant sous les images de la scène . Je lui confis même être en train de me caresser à l'image de cette histoire . Il en fait de même et comme pour l'aider je me laisse aller à lui joindre quelques photos de moi prenant soin de cacher mon visage. Bref trois heure de plaisir a divaguer , délirer et prendre plaisir même si j'en conviens rien ne remplace une réelle ..."queue" lol . En fin de journée nous échangeons donc nos boites mails avec pour espoir de se refaire quelques moments du même genre....

J'avoue que le soir une fois au lit , mon jouet m'a permis de calmer un peu le feu du bas ventre qui ne me lâchait pas.

 

Les jours suivant par manque de temps, nous nous faisions un rapide coucou via l'échange de mails . J'étais loin de me douter de se qui allait se produire la semaine suivante .

 

C'est un mardi de Mars . Je me lève tôt comme bien souvent pour me préparer à une longue journée de travail . Vêtue d'une petite robe noire en portefeuille somme toute très élégante , des bas auto fixant noir également et de bottes en cuir noir à talons haut . Je sais que les pans de la robe s'écartent facilement mais c'est un moyen sympa d'attirer les regards lol . J'adore cette robe. Ma journée se passe plutôt bien , je suis à l'agence à gérer le passage et a classer un peu . Vers 10 heure un homme fait irruption dans l'agence . Un homme somme toute normal en costume chemise , une petite cinquantaine . L'homme cherche un voir deux petits appartements afin de placer son argent dans le locatif.

Je saisie l'affaire à bras le corps et lui montre se que nous avons en stock. Visiblement fort intéresséle type veut visité voir faire affaire assez rapidement . Je lui propose alors l'aprés midi même pour visiter les dits appartements . Rendez vous est pris tout en cherchant à me charmer quelques peu en vantant ma féminité .

 

14h30 . Mon cher client pointe le bout du nez . Je n'ai pas eu le temps de quoi que se soit , à peine quelques vingts minutes pour me restaurer . Je confie donc l'agence à ma collègue mettant vite fait un peu d'ordre sur mon bureau tout en m'excusant auprès de mon client . Je l'invite donc  me suivre , prenant le véhicule de société ....

L'homme est très polis et distingué , je remarque bien son regard qui se perd parfois sur mes jambes mais quoi de plus naturel ? L'appartement en question se trouve a cinq minutes , encore une fois pas trop le temps de réfléchir puis avouons le...Je n'avais aucun moyen de faire la liaison .

Sur place, nous faisons le tour du propriétaire. L'appartement est vide bien entendu , l'homme scrute avec intérêt chaque pièces . Je ne remarque strictement rien d'anormal avant d'être gêné par des résidus de je ne sais quoi dans l'évier de cuisine . Je m'avance et ouvre le robinet pour rincer cela .

C'est à cet instant que le type pose la main sur mes fesses . Je sursaute ! Il me coince contre le lavabo tout en me disant que Bernard à une folle envie de me baiser vite fait ..... Il enchaîne sans que je ne puisse répondre ne me laissant aucun temps de parole . Le ventre sur le rebord de l'évier sa main fouille sous ma robe , me masse les fesses et je comprend que cet homme est tous simplement le Bernard avec qui j'échange depuis quelques temps . Les images se bousculent dans mon esprit, ses doigts éveillent un grosse envie de sexe et je cesse le peu peu de résistance que je mettais . Il comprend vite que je suis à sa merci , la robe sur les hanches il s'accroupit derrière moi et tout en écartant mon string s'exclamant que j'ai un joli cul, il m'administre de grands coups de langue qui me font frissonner de plaisir . Je me cambre, m'offre a ses doigts , sa langue ....Cela dure quelques minutes avant qu'il ne se redresses me tenant la nuque fermemment  tout en me poussant en avant . Il s'ouvre le jean , je sens sa queue chaude sue mes fesses , il se frotte à moi en me rappelant notre délire . M'affirmant que j'allais en prendre plein les fesses . Je n'ai d'autre réaction que de grogner de plaisir , la situation est complètement folle . Il me léve la jambe et me voila le genoux droit sur le plan de cuisine , le ventre posé dur le lavabo , l'autre jambe tendue sur la pointe du pied et le mec s'introduit en moi avec force et détermination . Un long râle m'échappe il se rut en moi , je me mord les lèvres , les yeux mi clos subissant ses assauts .... Limite me faire mal mais cette douleur laisse vite place à une furieuse envie .... Ses paroles me rendent folle , je gémis .

" oui ma salope tu à un cul a bite " je vais te fourré ma belle ." .... j'en passe et des meilleurs . En quelques minutes malgré mes efforts , je lâche de longs râles , de longs cris l'incitant même à forcer l'allure .

Ses doigts encrés dans le bas de mon dos , il se propulse en moi avec une telle force , je jouie de tout mon corps sous ses coups de buttoir.... Il m'accompagne , je le sens se lâcher et cris tout en m'envoyant son foutre dans le bas ventre ... De longs spasmes me transperce , délicieux moments inattendu . Lorsqueje me redresse je sens son plaisir me couler entre les jambes . Je cherche désespérément un mouchoir dans mon sac afin d'arrêter la fuite ...

Honteuse , gênée , je le fuis du regard malgrés ses dires qui sont plutôt pour me rassurer m'assurant qu'il a pris un pied monstrueux . Coté boulot , nous avons finalement fait affaire ...lol Pas sans une seconde visite la semaine suivante !!!

 

Je n'ai rien vue venir sur se coup là , la surprise était totale mais très bonne je l'avoue .

Par laurence80 - Publié dans : mes histoires perso. - Communauté : Récits Erotiques X
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Mardi 1 mars 2 01 /03 /Mars 17:48

Il fait doux en se lundi matin de juillet et c'est en petite robe d'été que je fais mon marché comme bien souvent . Pomponnée , toute belle sur mes talons hauts j'arpente les allées non sans remarquer quelques regards plutôt sympa d'hommes gourmands ne se privant pas de reluquer toute les femmes attirant leurs regards.

C'est au détour d'une allée que j'appercois cette petite robe blanche pendu sur un cintre volant au vent . Elle est sublime et je ne résiste pas à l'idée de me l'offrir.

Le type qui m'aceuille doit être le fils des gérants, la vingtaine de type méditéranéen avec un accens du sud fort prononcé. N'ayant pas de cabine il me propose de monter essayer la robe à l'arrière de la camionette tout en me tenant la porte et me tendant le bras . Je dois avoir l'air gourde à enjamber ainsi avec peine la marche. Ma robe bien courte ne m'aide pas et déja je dois lui offrir un drole de spectacle . La porte se reclaque, Je suis sommes toute à l'abris des regards . Les vitres arrières sont fumées, un miroir est appuyé sur la tole, malgrés le peu d'espace j'ôte la robe que je porte par dessus mes épaules . Je cherche un peu le sens de cette manifique tunique blanche et la passe avec peine . Je prend alors le temps de me regarder dans la glace, inspectant chacques faces , me tournant devant mon refflet et même m'amusant à retrousser la robe , la serrer sur mes fesses pour me rendre compte que celle ci est bien transparente . Bref , elle me va comme un charme ....J'ôte enfin l'étoffe que je pose sur un carton et avant de remettre celle qui m'appartient, je me regarde à nouveau dans le miroir et repositionne mon string sur mes hanches tout en me dandinnant une fois de plus . C'est à se moment là qu'un refflet attire mon attention . Un puit de lumière vient à moi de par l'avant du véhicule. Dans se puis je croise le regard de mon jeune vendeur visiblement attiré par la scéne. Gêné, je m'empresse alors de vite remettre ma robe. La surprise passée je sourie en descendant du camion. Mon vendeur est là et ne manque pas de me dire qu'il me fait 50% sur la robe car je suis trés jolie . Je paye vite mon dût et m'enfuis à la hâte comme une voleuse.....

J'adore ses petits faits de vie . La gêne du moment n'enlève rien à l'excitation qui suit lorsque j'y repense.

Par laurence80 - Publié dans : mes histoires perso. - Communauté : voyeur / exhib.
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Jeudi 3 mars 4 03 /03 /Mars 13:12

   Les hommes laissent vite cours à leur imagination et partent dans des délirs insoupçonnables. Nous à contrario, il est bien plus tabou d'avouer nos petits délirs , nos petites envies incontrôlables. Pour ma part , cela m'arrive et je le crie haut et fort ici même car dans ma vie de tous les jours j'imagine les appellations dont je serais l'objet .

 

C'est pourtant une journée sommes toute normale qui s'annonçait. Seule à la maison , je partais au travail certe vétue plutôt classe en vue d'une réunion primordiale avec ma dirrection. Cette réunion c'est trés bien passée , c'est ensuite que les choses se sont corsées. Vers onze heures trente du matin , un client plutôt en pétard a fait irruption dans mon bureau. Un soucis de propreté dans le logement qu'il vennait de louer par le biai de l'agence ... Surprise par ses propos je m'excuse un instant, le temps de sortir le dossier du logement histoire de savoir de quoi je parle . Sans y préter plus attention et troublé par la violence de ses dires , je plonge le nez dans les armoires basses situées dérrière moi . C'est lorsques je me redresse le dossier à la main que je me rend compte que cet homme est complétement à l'arret derrière moi , le regard fixé sur mes jambes avec un malin sourrire aux lèvres . Je dois rougir me rendant compte que je viens d'offrir a ce type une vue imprennable sur mes cuisses gainées de soie , pour un peu il a dut même voir la lisière de mes bas avec cette jupe un peu limite en terme de longeur. L'homme ne râle plus , il est devenu doux comme un agneau .... Troublé je cherche mes mots mais l'agressivité a totalement disparut .... Je tente de m'expliquer un peu cherchant les moindres et mauvaises excuses car visiblement aux vues du dossier , une dame d'entretien est bien passé l'avant veille de la remise des clefs . L'homme étant calmé , je ne cherche pas plus loin . Il désirait surtout nous faire savoir son mécontentement.... Il quitte l'agence aprés lui avoir dit que je verrais la suite a donner et le tiendrais bien evidemment au courant ....

L'image de son regard m'a poursuivit toute la journée partagée entre plaisir, excitation et gêne . J'ai quitté se jour là l'agence vers 17 heure ne me déttachant toujours pas de se regard lourd en disant long .

Sur la route du retour , j'ai ramassé un étudiant sortant des cours qui faisait du stop en bordure de la nationnale . Pourquoi? Je ne sais même pas moi même car c'est plutôt rare que je prenne se risque. Une bonne bouille de jeune, plutôt mignon et propre, je pensais peut etre m'évader et chasser ces images qui me hantaient depuis la fin de matinné.

L'effet escompté n'eu pas lieu lol . Pire, se jeune homme c'est mis à son tour à me mater les jambes le plus discrétement possible mais pas assez pour ne pas me rendre compte. Cette jupe était vraiman limite coté longeur et j'ai enfin compris qu'assise au volant , le coté droit de la jupe arrivait sur la lisère du bas . Un peu tard pour corriger la position j'ai laissé faire comme si je ne voyais pas ses mouvements de tête , ses petits coups d'oeil vite fait , sa gêne lorsques je le croisais du regard . Plutôt amusé sur ce coups là , j'ai profité pour observer sa gêne et son trouble et j'avoue m'être excité . Je l'ai déposé comme convenu sur la route avec un petit regres me disant qu'il aurait put oser ....rire.

Bref je suis rentré vers 18 heures et là les images m'ont envahit de plus belle au point de ne plus y tenir . J'avais une heure devant moi avant le retour de mon fils ...Je suis monté m'ettendre sur le lit et j'ai laissé mon imagination comme bon lui semble .

Entre le regard insistant de cet homme se matin et se jeune homme me reluquant les jambes discrètement ....Il ne m'en fallait pas plus pour me palper les seins en imaginant les pires scènes ... Allongé sur le lit, les yeux mis clos , je ronronne de plaisir. Mon corps ondule déjà, je frissonne sous mes propres mains.... Les seins tendus je me cambre comme pour offrir mon corps . Une main descend sur mon ventre , il est chaud , il bouillonne, de la paume de main je presse mon pubis laissant echapper un long soupir de bien être. Mon majeur s'intruste entre mes lèvres gonflées d'envie, l'endroit est déjas humide . comment contenir cette envie soudaine de plaisir ? Les muscles des jambes tendu je me dresse afin d'attrapper mon compagnon de jeu dans le tirroir de la table de nuit. Une fois en mais je le regarde un instant perdu dans de loingtaine pensées ... Peut être celle de se type au bureau se matin , ou celle de mon étudiant? Peu importe , elle est belle et toujour prête à de multiples exploits . Je la réchauffe entre mes mains je joue du bout des doigts sur le gland bien rosé comme si je me faisais désirer . La folie s'emparre de moi , Droite sur le lit maintenu à la base par ma main qui l'enroule, je jéte mes cheveux en arrière et dépose un baisé sur se gland prêt à me combler ...mes lèvres s'ouvrent, j'aspire et imagine cette main qui me pousse à gober cette jolie queue. La hampe de cilicone va et viens dans ma bouche , je la lève , la mordille . Mes hanches accompagnent le mouvement qui devient de plus en plus rythmé . Je gémis tout en me tortillant les cuisses sérrées ....le plaisir est intence , D'une main je me triture le clitoris emprisonnant celle ci par instant entre mes cuisses que je sers fortement ..... L'orgasme est là , tout prêt , je le sens monter en moi .... Je me laisse alors tomber sur le dos et écarte brusquement les jambes. Tenant mon jouet du bout des doigts je promène le gland trampé da ma salive le long de mon entrecuisses maintenant une certaine pression témoignant d'une envie folle . De droite a gauche le gland découvre l'entrée de mon nid d'amour, il y joue à peine quelques secondes et d'un coup y plonge au plus profond ....Je râle , je crie , j'ai envie.

Cuisses grande ouverte , je me pilonne la chatte avec frénésie ....Je crie de plus belle sous ses coups de buttoir . je jouis les yeux fermés en me mordant les lèvres me rendant à peine compte que c'est bien moi qui accionne le pauvre jouet .... Je m'abandonne au plaisir , de long spasme me traversent le bas ventre , mon corps tout entier fait de violent soubresauts . Je sers les cuisses et lache l'objet du délit .....Mon corps se relachant , le sextoy glisse doucement me laissant paisible quelques minutes ...

Je reprend mes esprits, le temps de refaire le lit , de ranger mon fidèle amant et mon fils rentre de cours ...

Quel délicieux moment . .

 

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Par laurence80 - Publié dans : mes histoires perso. - Communauté : voyeur / exhib.
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Jeudi 3 mars 4 03 /03 /Mars 13:37

Si vous désirez réagir à ce récit , avec l'accord de son auteur : zoorg35@yahoo.fr

Je suis commercial en informatique et viens tout juste de sortir d'un rendez vous assez éreintant. Il est presque 17h00 et je vois un troquet de l'autre coté de la rue. Je décide de m'accorder une petite pause, je pénètre dans le bistrot et commande un café. Je tournais machinalement ma petite cuillère dans ma tasse quand je vis une belle femme brune s'assoir quelques tables plus loin face à moi.  Elle devait avoir le même age que moi à savoir 35 ans. Très vite je fus hypnotisé par ses délicieuses jambes gainées de noir. J'essayais discrètement de deviner si elle portait un collant ou des bas, parfois son regard croisait le mien et je faisais alors l'innocent en me mettant à regarder ailleurs. Elle avait maintenant les jambes croisées, elle me dévoilait ainsi un peu plus ses cuisses mais je ne voyais toujours pas de traces de bas.

Je faisais trainer le dégustation de mon café le plus longtemps possible pour continuer à contempler les delicieux compas qui me faisaient face. La charmante demoiselle se pencha alors sur le coté pour fouiller dans son sac, je pus alors distinguer pendant quelques secondes la lisière d'un bas. J'étais incroyablement excitée et commence à avoir un début d'érection. Je tentais de rester discret mais mon regard était irrésistiblement capté par cette vision idyllique.

Elle finit par payer son chocolat et quitta les lieux, je ne sais quelle force intérieur me fit me lever et je me mis à suivre cette belle inconnue, c'était comme si ses jampes m'avaient harponné et qu'elles me tiraient par l'intermédiaire d'un fil invisible. J'essayais de rester discret et je restais une dizaine de mètres en retrait. Alors qu'elle marchait je fixais ses belles jambes et scrutait chaque détail. Elle avait une jupe qui arrivait au dessus du genou et des chaussures à talon d'au moins 5 cm, elle avait de la prestance et beaucoup de classe.

Elle s'arrêtait de temps en temps regarder les vitrines des boutiques, je pense alors qu'elle s'aperçut que je la suivais car au lieu de continuer tranquillement, je m'arrêtais également devant des boutiques tout en conservant une certaine distance. Malgré tout je continuais ma filature, je m'étonnais de tant d'audace, je sentais mes jambes flageoler face à tant d'excitation, mes mains étaient moites et j'avais la gorge nouée. Je sentais mon cœur qui palpitait et le sang qui cognait contre mes tempes.

Mon inconnue s'arrêta devant le porche d'un immeuble, elle s'immobilisa quelques secondes et regarda dans ma direction, j'eus même l'impression qu'elle me fixait, puis elle franchit la porte

Voulait elle m'attirer et me prendre au piège dans ses filets ?

Je décidais de jouer la victime consentante et m'engouffrait fébrilement dans ce délicieux traquenard. Je franchis la porte, elle donnait dans le hall d'un vieil immeuble, je m'avançais tout doucement quand une furie brune me plaqua contre le mur et m'embrassa fiévreusement.

Complétement surpris, je laissais tomber ma mallette la prenais dans mes bras.

Tout en l'embrassant je me mis à caresser et palper son joli fessier, elle fit également descendre une de ses mains qui était dans mon dos et la fit glisser sur mes fesses sous mon pantalon. Elle me pelotait littéralement et attirait mon bassin contre son bas ventre. Elle se frottait contre mon sexe qui était désormais en pleine érection. Elle interrompit soudain son baiser et me dis simplement  : Prends moi, j'ai envie de toi.

Excité par la situation j'inverse alors alors les rôles, je la plaque contre le mur, y écrasant sa poitrine et son visage, je me colle à elle, calant mon sexe entre ses fesses. Puis je passa mes mains sur son ventre et commença à caresser son buste, lentement je les descendis et me mis à caresser ses cuisses. Tout doucement je remontai mes mains sous sa jupe le m'attardais sur l'intérieur de ses cuisses. Je tombais bientôt sur la large bande de dentelle de ses bas, puis une main se colla contre sa fente. Le tissu de ton string était déjà bien humide, je le fis glisser sur le coté et mis à caresser un sexe soigneusement épilé, je ne sentais aucune race de pilosité, c'était un vrai délice.

Ma belle inconnue respirait de plus en plus fort, elle frottait son arrière train contre mon sexe, le faisant coulisser entre ses fesses. Puis je plongea un doigt dans son intimité, elle tourna la tête pour m'embrasser de nouveau.

Nous étions collés l'un à l'autre, ondulant à l'unisson, de mon autre main, j'abandonnais sa cuisse fuselée et empoigna un de ses seins. Je fouillai son intimité avec mon doigt, elle coulait littéralement de plaisir et commençait à pousser de longs soupirs.
Elle interrompit de nouveau notre baiser et me dit: Viens vite, je n'en peux plus.

Je lui répondis bêtement : Je n'ai pas de préservatif, et toi ?

Elle me répondit : Moi non plus, prends moi mais ne tu te retireras pour finir.

Sans hésiter, je déboutonna mon pantalon et releva sa jupe. Je pris son string que je glissais rapidement sur le coté et présenta mon sexe contre sa fente.

Je m'introduisis doucement en elle, elle commença aussitôt à pousser des petits gémissements. Je me mis à faire coulisser ma tige dans son sexe et commença également à masser son petit bouton. Elle haletait sous mes coups de boutoir, elle avait les mains plaquées contre le mur, et je la sentais venir à la rencontre de mon bassin pour accentuer la pénétration.

 Je mis ensuite à l'agripper par les hanches pour la besogner de plus en plus fort. Je lui assenais de grands et amples coups de rein. Elle poussait maintenant des petits cris à chacun d'entre eux.

Elle m'avait tellement excitée que je ne pus me retenir très longtemps, mon sexe était si bien dans ce délicieux fourreau que j'en sortis au dernier moment, lui envoyant ainsi plusieurs jets de sperme sur la fesse droite. Ma semence dégringola le long de son globe pour s'écraser sur la lisière de son bas.

Elle s'effondra en age contre le mur, moi je restais un peu penaud le sexe à l'air . Elle me dit : Tu as des mouchoirs pour que je m'essuie.

Je fouillais dans la poche de ma veste et en sortit un paquet de kleenex que je lui tendis. Elle s'essuya et remit de l'ordre dans sa tenue. Je profitai de ce moment de nettoyage pour admirer son anatomie et son joli fessier. Puis je rangeais mon sexe qui était encore à moitié dur dans mon pantalon.

Elle sortit un stylo et me dit : Tu me laisses ton numéro, on se sait jamais.

Elle nota alors mon numéro de téléphone sur un kleenex, puis elle se dirigea vers la sortie, me déposa un petit baiser sur les lèvres et avant de franchir définitivement la porte me dit : C'était super, a bientôt .... peut être.

Par laurence80 - Publié dans : Mes amis écrivent aussi. - Communauté : Récits Erotiques X
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