Mes amis écrivent aussi.

Mardi 1 mars 2 01 /03 /Mars 07:44

 

 

Ce soir, j’organise dans un hôtel resto de renom, situé proche de la Capitale, au décor champêtre, une soirée particulière à l’insu de mon amie Berline.

 

Cela fait plus d’une année que nous abordons dans nos discussions avec Berline certaines pratiques érotiques avec en toile de fond la fessée. Eh oui !!! J’avoue …

Souvent nous souscrivons pour ce sujet voir même très, très souvent. Nos tabous tombent dans nos causeries puis laissent place à notre imaginaire. Ce dernier  va très loin, très très loin ! Plus d’une fois j’ai souhaité l’édifier réalité, attachée debout au milieu de la pièce bureau ou allongée sur le lit, à quatre pattes, membres libres, dans le salon ou dans la cuisine, mais dès les premières claques elle me suppliait de stopper l’épreuve en raison principalement de sa sensibilité physique. Comme mes sentiments vis-à-vis de Berline dominent, j’arrêtais à chaque fois la séance.

 

Alors via internet après pas mal de contacts avec diverses personnes, hommes, femmes ou couples, de tous fantasmes vous le pensez bien, je cible un couple qui me semble correspondre à mes critères. Je recherchais une personne ou un couple qui pratique la fessée avec un savoir faire reconnu mais surtout qui n’arrêtera pas ou n’arrêteront pas aux premiers gémissements de Berline.

Simplement de rêver d’une telle situation mes sens s’animent au plus profond de moi. Nos échanges via internet tournent régulièrement autour de pratiques sexuelles quel qu’en soit le contenu.

 

Je découvre l’activité professionnelle de ce couple le jour que Jean, mon interlocuteur, décide de nous inviter dans son hôtel pour expérimenter mes désirs. Et voila comment nous nous retrouvons avec Berline à passer une nuit à la campagne avec des mystérieux. – histoire réelle à + de 70 % -

 

Au fait, je nous présente, homme d’une cinquantaine d’années, pas grand 1 m 70 pour 70 kg d’allure sportive et ma petite Berline même âge, petit modèle, petite poitrine, belles fesses bien fermes, fitness oblige. Voilà ….

 

A notre arrivée, une femme bien propre sur elle, de ma taille, blonde, cheveux mi-long, taille fine mais poitrine présente, dans la quarantaine nous accueille. Elle nous invite à remplir les formalités d’usage avant de nous tendre les clés de notre chambre avec les égards de politesse que son poste demande mais sans plus.

Mon interrogation première : Est – ce elle ? Aucun signe extérieur ne laisse supposer quoi que ce soit ….

Tout l’après midi nous découvrons à pied l’environnement forestier qui s’ouvre à nous. Nous retournons à notre chambre la nuit tombante, prenons une douche puis allons au  bar déguster un verre avant de nous rendre au resto. Peu de monde, seulement quelques tables occupées, disposées de façon à permettre à la clientèle de profiter de la chaleur que dégage un feu de cheminée crépitant le bois sec.

Nous sommes raisonnables dans la boisson toutefois attention quand même entendu que nous ne buvons jamais pour ainsi dire. Le repas se déroule fort sympathiquement avec un service où discrétion, gentillesse et efficacité cohabitent.

Deux jeunes, une nana et un mec s’organisent à offrir aux présents un bien être de service.

Pendant toute la durée du repas je cherche des yeux un indice pour repérer mon contact. Rien, pas la moindre piste ne m’autorise un soupçon d’un signe. Aurai – je été mené en bateau ? Allez savoir ! Mais bon l’endroit est sympa..

Je vois bien la nana de l’accueil toujours présente mais en dehors d’elle rien. De plus elle nous ignore. En fin de repas le chef cuisinier comme dans pas mal de restos vient saluer sa clientèle du soir. Physique de cuisinier, pas d’âge, entre 40 et 50 ans, grand, cheveux courts avec un embonpoint affirmé, se répand d’une table à une autre avec convivialité.

Nous décidons de prendre notre café au bar avant d’aller nous cloîtrer dans notre chambre.

Ne voyant rien venir, je m’interroge sincèrement sur l’authenticité de mes échanges sur internet.

Toute cette démarche pour nous retrouver comme à la maison hormis le plaisir d’être à la campagne avec Berline. Cependant une personne est radieuse, Berline. Elle passe une très agréable soirée. La balade en forêt, le dîner dans cet ambiant environnant feutré la détendent.

Le cuisinier, je suppose comme avec tous les autres clients nous offre le digestif. En guise de digestif nous savoureux une coupe de champagne avant de rejoindre notre chambre.

 

Nous croisons la nana de l’accueil, à notre porte de chambre. Elle nous salue puis de but en blanc nous invite à prendre un dernier verre. Avec Berline nous nous regardons, mais j’accepte l’invitation sans attendre sa réponse  …Nous voilà tous les trois à quelques portes de notre chambre, installé dans le salon d’une suite.

La température de mon corps prend un coup de chaleur comme jamais. Le cuisinier nous rejoint avec une bouteille de champagne et 4 coupes. Il la débouche … nous sert. Berline est loin de s’imaginer ce qui se trame. La nana de l’accueil de son prénom Mireille, s’excuse mais souhaite aller se changer.

«  je n’en ai que pour 5 minutes »

Lorsqu’elle revient, grande surprise ! Elle échange sa tenue de travail par une surprenante tenue en cuir, talons aiguilles, bas résine noirs, jupe extra courte et petit gilet échancré, sans manche que trois boutons ferment arrogamment.

Berline regard interrogatif m’interpelle avec ses yeux … mais bon…

L’alcool doit aider sa décontraction.

Très vite notre conversation dévie sur de grands sous entendus. A j’ai omis de vous dire que Berline porte une tenue cool de week end, jean / tee shirt et tennis.

 

Jean – le cuisinier – se lève, son ventre est sincèrement imposant, puis disparaît dans la chambre. Il demande à Mireille de venir le rejoindre accompagnée Berline.

Simplement son souhait donné d’un ton ferme me communique une érection comme jamais.  Berline me regarde de nouveau, Mireille lui prend la main  pour l’inciter à la suivre. Je souris à Berline. Elles disparaissent.

Une dizaine de minutes plus tard sur conseil de Jean je rejoins tout ce petit beau monde.  La surprise c’est moi qui la découvre. J’observe une chambre aménagée avec seulement un lit dont la tête et les pieds sont en fer forgé. Une armoire en bois se tient majestueusement tout au fond à gauche.

J’observe surtout ma petite Berline au beau milieu de la pièce, bras écartés, attachés aux poignets par un système de poulies/cordes suspendu au plafond, bandeau sur les yeux et une boule dans la bouche pour l’empêcher de prononcer un mot. Ses jambes sont écartées par une barre en alu. d’un peu plus d’un mètre tenue à ses chevilles par des menottes. A mon arrivée Mireille se met derrière elle et l’avise.

 

- je te donne 20 gifles sur chacune de tes fesses. Jean comptera. Quand j’aurai terminé même punition petite salope mais cette fois c’est moi qui comptera, Jean distribuera avec ses grands battoirs de mains. L’atmosphère est silencieuse. Le visage de Mireille s’assombrit, Jean déboutonne sa chemise. Son ventre déborde de partout. La première gifle résonne. Berline l’accompagne d’un mouvement de corps pour l’amortir. Jean entonne d’une voix intelligible le UN. A la 20 ème gifles sur chaque fesse, Berline laisse apparaitre quelques larmes sur ses jouent. Jean prend le relai sans ménagement mais également sans laisser à Berline le temps de reprendre ses esprits.

J’assiste en bandant à un point que ma queue ne souhaite qu’une libération anticipée de sa geôle. Je n’ose !

Mireille prend grand plaisir à compter et voir les larmes de sa « soumise » inonder son visage. La première séance s’achève.

 

Mireille, comme un scénario bien huilé, sans un mot, monte de quelques centimètres la corde du plafond. Berline se retrouve ainsi sur la pointe des pieds exhibée à voisinage. Mireille lui déboutonne son jean, tandis que Jean libère ses chevilles de la barre d’alu. pour lui permettre de le lui ôter.

Voilà ma belle, chatte et fesses en devanture, prête à se soumettre, à souffrir et à jouir de plaisir à la demande des hôtes du jour. Jean lui réaménage la barre sur ses chevilles. De l’armoire il retire une petite tapette avec laquelle il lui claque ses entrecuisses à hauteur de son sexe, une vingtaine de coups sur chaque avant de la débarrasser de tous ses apparats.

 

Mireille lui ordonne de se mettre sur le dos dans le lit, jambes écartées …Elle s’exécute … tout en suppliant qu’on cesse cette épreuve.

 

Jean la regarde droit dans les yeux :

-          petite salope, voilà plus d’une heure qu’on s’occupe de toi … que tu prends plaisir et tu veux qu’on s’arrête … et nous dans tout cela ?

 

Mireille lui glisse deux doigts dans son vagin. La réponse ne se fait pas attendre.

«  Mais c’est une vraie rivière ….  sale petite pute de mijaurée … »

 

Je ne tiens plus, je me déshabille. Jean sans la moindre honte de son corps m’imite.

Mireille m’ordonne d’aller la sucer…. J’adore ….. Je ne me fais pas prier. Je délecte avec grand plaisir toute sa mouille et je vous confirme qu’elle est immense.   

 

Jean connaît son rôle de maître de la fessée sur la pointe des doigts. Il sort de l’armoire un petit martinet, attache les poignets de Berline - toujours sur le dos -, bras bien écartés à la monture de la tête du lit.

Ma petite Berline ne se prive aucunement de poursuivre sa jouissance dans ma bouche.

 

Jean prolonge sa séance en répartissant malicieusement avec le martinet, 20 petits coups secs sur chacun de ses seins protégés en la circonstance par son tee shirt et soutien gorge… Même régime de la part de Mireille dans leur partage des rôles … puis Mireille avec une paire de ciseau lui découpe le tee shirt et son sous tif… la voilà à poil ..

Des rougeurs apparaissent sur sa poitrine …..

 

Jean la détache puis la laisse récupérer sans qu’auparavant il s’autorise à sonder avec deux énormes doigts l’état d’humectation de sa chatte.

Pas de surprise sur le sujet, certes la douleur de la flagellation doit être encore présente néanmoins sa jouissance interne est manifeste.   

 

Suiteeeeeeeeeeeee ?????

 

Par laurence80 - Publié dans : Mes amis écrivent aussi. - Communauté : Récits Erotiques X
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Jeudi 3 mars 4 03 /03 /Mars 13:37

Si vous désirez réagir à ce récit , avec l'accord de son auteur : zoorg35@yahoo.fr

Je suis commercial en informatique et viens tout juste de sortir d'un rendez vous assez éreintant. Il est presque 17h00 et je vois un troquet de l'autre coté de la rue. Je décide de m'accorder une petite pause, je pénètre dans le bistrot et commande un café. Je tournais machinalement ma petite cuillère dans ma tasse quand je vis une belle femme brune s'assoir quelques tables plus loin face à moi.  Elle devait avoir le même age que moi à savoir 35 ans. Très vite je fus hypnotisé par ses délicieuses jambes gainées de noir. J'essayais discrètement de deviner si elle portait un collant ou des bas, parfois son regard croisait le mien et je faisais alors l'innocent en me mettant à regarder ailleurs. Elle avait maintenant les jambes croisées, elle me dévoilait ainsi un peu plus ses cuisses mais je ne voyais toujours pas de traces de bas.

Je faisais trainer le dégustation de mon café le plus longtemps possible pour continuer à contempler les delicieux compas qui me faisaient face. La charmante demoiselle se pencha alors sur le coté pour fouiller dans son sac, je pus alors distinguer pendant quelques secondes la lisière d'un bas. J'étais incroyablement excitée et commence à avoir un début d'érection. Je tentais de rester discret mais mon regard était irrésistiblement capté par cette vision idyllique.

Elle finit par payer son chocolat et quitta les lieux, je ne sais quelle force intérieur me fit me lever et je me mis à suivre cette belle inconnue, c'était comme si ses jampes m'avaient harponné et qu'elles me tiraient par l'intermédiaire d'un fil invisible. J'essayais de rester discret et je restais une dizaine de mètres en retrait. Alors qu'elle marchait je fixais ses belles jambes et scrutait chaque détail. Elle avait une jupe qui arrivait au dessus du genou et des chaussures à talon d'au moins 5 cm, elle avait de la prestance et beaucoup de classe.

Elle s'arrêtait de temps en temps regarder les vitrines des boutiques, je pense alors qu'elle s'aperçut que je la suivais car au lieu de continuer tranquillement, je m'arrêtais également devant des boutiques tout en conservant une certaine distance. Malgré tout je continuais ma filature, je m'étonnais de tant d'audace, je sentais mes jambes flageoler face à tant d'excitation, mes mains étaient moites et j'avais la gorge nouée. Je sentais mon cœur qui palpitait et le sang qui cognait contre mes tempes.

Mon inconnue s'arrêta devant le porche d'un immeuble, elle s'immobilisa quelques secondes et regarda dans ma direction, j'eus même l'impression qu'elle me fixait, puis elle franchit la porte

Voulait elle m'attirer et me prendre au piège dans ses filets ?

Je décidais de jouer la victime consentante et m'engouffrait fébrilement dans ce délicieux traquenard. Je franchis la porte, elle donnait dans le hall d'un vieil immeuble, je m'avançais tout doucement quand une furie brune me plaqua contre le mur et m'embrassa fiévreusement.

Complétement surpris, je laissais tomber ma mallette la prenais dans mes bras.

Tout en l'embrassant je me mis à caresser et palper son joli fessier, elle fit également descendre une de ses mains qui était dans mon dos et la fit glisser sur mes fesses sous mon pantalon. Elle me pelotait littéralement et attirait mon bassin contre son bas ventre. Elle se frottait contre mon sexe qui était désormais en pleine érection. Elle interrompit soudain son baiser et me dis simplement  : Prends moi, j'ai envie de toi.

Excité par la situation j'inverse alors alors les rôles, je la plaque contre le mur, y écrasant sa poitrine et son visage, je me colle à elle, calant mon sexe entre ses fesses. Puis je passa mes mains sur son ventre et commença à caresser son buste, lentement je les descendis et me mis à caresser ses cuisses. Tout doucement je remontai mes mains sous sa jupe le m'attardais sur l'intérieur de ses cuisses. Je tombais bientôt sur la large bande de dentelle de ses bas, puis une main se colla contre sa fente. Le tissu de ton string était déjà bien humide, je le fis glisser sur le coté et mis à caresser un sexe soigneusement épilé, je ne sentais aucune race de pilosité, c'était un vrai délice.

Ma belle inconnue respirait de plus en plus fort, elle frottait son arrière train contre mon sexe, le faisant coulisser entre ses fesses. Puis je plongea un doigt dans son intimité, elle tourna la tête pour m'embrasser de nouveau.

Nous étions collés l'un à l'autre, ondulant à l'unisson, de mon autre main, j'abandonnais sa cuisse fuselée et empoigna un de ses seins. Je fouillai son intimité avec mon doigt, elle coulait littéralement de plaisir et commençait à pousser de longs soupirs.
Elle interrompit de nouveau notre baiser et me dit: Viens vite, je n'en peux plus.

Je lui répondis bêtement : Je n'ai pas de préservatif, et toi ?

Elle me répondit : Moi non plus, prends moi mais ne tu te retireras pour finir.

Sans hésiter, je déboutonna mon pantalon et releva sa jupe. Je pris son string que je glissais rapidement sur le coté et présenta mon sexe contre sa fente.

Je m'introduisis doucement en elle, elle commença aussitôt à pousser des petits gémissements. Je me mis à faire coulisser ma tige dans son sexe et commença également à masser son petit bouton. Elle haletait sous mes coups de boutoir, elle avait les mains plaquées contre le mur, et je la sentais venir à la rencontre de mon bassin pour accentuer la pénétration.

 Je mis ensuite à l'agripper par les hanches pour la besogner de plus en plus fort. Je lui assenais de grands et amples coups de rein. Elle poussait maintenant des petits cris à chacun d'entre eux.

Elle m'avait tellement excitée que je ne pus me retenir très longtemps, mon sexe était si bien dans ce délicieux fourreau que j'en sortis au dernier moment, lui envoyant ainsi plusieurs jets de sperme sur la fesse droite. Ma semence dégringola le long de son globe pour s'écraser sur la lisière de son bas.

Elle s'effondra en age contre le mur, moi je restais un peu penaud le sexe à l'air . Elle me dit : Tu as des mouchoirs pour que je m'essuie.

Je fouillais dans la poche de ma veste et en sortit un paquet de kleenex que je lui tendis. Elle s'essuya et remit de l'ordre dans sa tenue. Je profitai de ce moment de nettoyage pour admirer son anatomie et son joli fessier. Puis je rangeais mon sexe qui était encore à moitié dur dans mon pantalon.

Elle sortit un stylo et me dit : Tu me laisses ton numéro, on se sait jamais.

Elle nota alors mon numéro de téléphone sur un kleenex, puis elle se dirigea vers la sortie, me déposa un petit baiser sur les lèvres et avant de franchir définitivement la porte me dit : C'était super, a bientôt .... peut être.

Par laurence80 - Publié dans : Mes amis écrivent aussi. - Communauté : Récits Erotiques X
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Lundi 7 mars 1 07 /03 /Mars 16:57

Cela faisait deux semaines que j'avais rencontré ma furie brune, elle occupait sans cesse chacune de mes pensées. Tous les jours j'attendais  un coup de fil, un SMS, bref un signe de vie. Je commençais à dépérir, lorsqu'en rallumant mon téléphone à l'issu d'une réunion, je découvris un mystérieux SMS me donnant rendez vous à 17H30 dans la chambre 12 d'un hôtel Formule 1 assez proche. Je regardais l'heure à ma montre, il était 16h45, j'avais tout juste le temps de m'y rendre.

En voiture, je m'imaginais déjà sur place, j'essayais de la visualiser, de deviner comment elle serait habillée, si elle allait de nouveau arborer de jolis bas qui mettraient en valeur ses jolies jambes. Une bosse déformait déjà mon pantalon, j'étais au comble de l'excitation.

J'étais maintenant devant la porte de la fameuse chambre 12, je me mis soudain à hésiter pour je ne sais quelle raison, j'avais la gorge nouée et les jambes en coton. Qu'allait il se passer derrière cette porte, serait elle vraiment là. Puis je pris mon courage à deux mains et je toquais trois fois à la porte, celle ci s'entrebâilla, je vis le doux visage de mon inconnue, puis la porte s'ouvrit entièrement. Je m'engouffrais rapidement dans la pièce.

Elle ferma la porte et sans me dire un mot vint m'embrasser, aussitôt elle porta la main sur mon entrejambe, voyant que je bandais déjà, elle me dit d'un air narquois : Eh bien, je te fais autant d'effet.

Puis sans me laisser le temps de répondre, elle me poussa sur le lit et me dit : Déshabille toi.

Je ne me fis pas prier et me mis très vite nu comme un ver, ne pouvant dissimuler de ce fait mon sexe qui était en pleine érection.

Elle me dit : Mmmm ... cela m'a l'air très intéressant tout ça.

Puis elle s'approcha de moi, se mit à genoux et empoigna mon sexe qu'elle se mit à caresser doucement tout en me regardant droit dans les yeux. Puis elle pencha sa bouche sur mon gland et commença à le lécher, enfin elle avala mon membre et commença à me faire une magnifique fellation. Elle m'arrachait de longs et profonds soupirs de plaisir. Alors qu'elle avait toujours mon sexe dans sa bouche et qu'elle en explorait chaque recoin avec sa langue agile, elle continuait de me fixer intensément, plongeant ses jolis yeux marrons dans les miens.

Je sentais l'excitation monter le long de mon membre, je me disais qu'à ce rythme là j'allais bientôt venir. Ma belle inconnue me suçait de plus en plus fort, elle me palpait les testicules d'une main et de avec l'autre elle me branlait vigoureusement tout en continuant à se délecter de mon gland.

C'en était trop pour moi et lui dit : Attention je vais venir !!!

A ma grande surprise, elle me garda dans sa bouche, continuant à me prodiguer cette délicieuse fellation. Me sentant proche de la rupture, elle emprisonna mon gland entre ses lèvres et se mit à me branler très fort. Face en tant d'abnégation, je finis par céder et lui envoyer plusieurs jets de sperme au fond de son palais. Je la vis déglutir sans broncher ma semence et elle ressortit de sa bouche un sexe vierge de toute trace de ma sève.

Un peu piteux de n'avoir pas été très endurant, j'essayais de bredouiller quelques mots, elle me répondit : ce n'est pas grave, tu me pourras me prendre plus longtemps.

Puis elle se releva et commença à se dévêtir très lentement, elle enleva tout d'abord son chemisier, puis elle glissa doucement la fermeure éclair de sa jupe qu'elle fit tomber à ses pieds. Je pus alors l'admirer. Elle portait un joli soutien gorge noir, le porte jarretelles et le string qui allaient avec. Son string était transparent et je pouvais deviner à travers le tissu son sexe imberbe. Ses jambes étaient recouvertes par de magnifiques bas noirs.

Face à cette superbe vision je commençais à retrouver une certaine vigueur, je la vis alors fouiller dans son sac, elle en sortit un préservatif, elle se pencha alors de nouveau vers mon sexe et le reprit dans sa bouche. En quelques instants, elle réussit à redresser mon mat et y enfila le préservatif. Elle m'enjamba alors et s'assit sur moi. Elle écarta son string sur le coté, frotta pendant quelques instants mon sexe le long de sa fente et vint finalement s'empaler sur mon pieu.

C'est elle qui avait pris le commandement, elle imprimait les mouvements et le rythme, je la laissais et prenais beaucoup de plaisir dans cette situtation, c'était la première fois que je rencontrais une femme si entreprenante. J'en profitais quand même pour lui ôter son soutien gorge et caresser sa jolie poitrine; Ses seins n'étaient pas spécialement gros mais ils étaient magnifiques et très fermes.

Pendant qu'elle s'empalait sur mon pieu je caressais chaque parcelle de son corps, ses fesses, ses cuisses gainées de bas, ses seins, son dos. De temps en temps elle se penchait pour m'embrasser. Au fur et à mesure, je reprenais de l'assurance et lorsqu'elle se pencha une nouvelle fois pour m'embrasser, je passa un bras autour de sa taille pour la maintenir plaquée contre mon torse. Un peu surprise elle voulut se relever mais voyant que je ne desserrais pas mon étreinte elle abandonna et je sentis alors ses seins s'écraser contre mon torse.

Elle allongea alors ses jambes et les glissa sous les miennes, ainsi elle pouvait y prendre appui pour me donner des coups de bassin et faire vibrer mon sexe dans son intimité. Quant à moi je lançais une nouvelle fois mes mains à l'exploration de son corps. L'une d'entre elles arriva sur son fessier, mes doigts commencèrent alors à glisser le long de sa raie et je tombais rapidement sur son petit trou. je me mis à le caresser tout doucement et très délicatement, me contentant pour l'instant de faire des cercles autour avec mon doigt.

Il me semblait à sa façon de bouger qu'elle apprecier cette caresse, je decidais alors d'aller plus loin, je trempais un peu mon doigt dans sa fente qui dégoulinait de plaisir, et avec ce lubrifiant naturel, je commençai à caresser son oeillet de manière plus insistante. J'eus très rapidement le bout de mon doigt plongé dans son cul. Elle poussait des petits gémissements au même rythme que cette caresse. Tout doute était levé, elle aimait ça.

J'allais de nouveau lubrifier mon doigt en puisant à la source et recommençais cette intrusion dans ces entrailles, je me retrouvais assez rapidement avec presque la totalité de mon doigt dans son rectum. Je l'agitais maintenant rapidement. Sa respiration était agitée, son bassin était fou, elle avait l'air d'énormément apprécier cette intrusion.

Puis vaincue par mes caresses, elle me dit : Viens me prendre par derrière.

Elle se leva alors et se positionna à quatre pattes au bord du lit, je me levais aussitôt et me mis derrière elle. Je me mis à rêvasser quelques secondes, subjugué par cette croupe si accueillante. Mais elle tendit la main en direction de mon sexe, j'avançais pour qu'elle le prenne. Puis elle posa le gland sur sa rosette, je me mis alors à pousser doucement. Malgré que ce soit mon sexe, c'est elle avec sa main qui contrôlait la pénétration. je sentis petit à petit mon gland forcer le passage de son anneau, puis celui ci se referma et emprisonna le bout de mon sexe.

Elle se mit à souffler, je sentais que pour l'instant le plaisir n'y était pas pour elle, par contre moi j'étais incroyablement bien dans ce conduit si serré. Elle me dit : Doucement s'il te plait.

Je pris alors ses hanches avec mes mains et commençais doucement à lui faire faire des mouvements d'avant en arrière, je l'attirais vers moi pour qu'elle s'empale sur mon sexe. Ainsi je gagnais petit à petit du terrain et je la sentais maintenant accentuer elle même le mouvement. Elle respirait de plus en plus fort, elle laissa tomber sa tête sur le lit et commença à caresser son sexe d'une main.

Elle gémissait, poussait des petits cris quand parfois je gagnais du terrain un peu trop rapidement, mais elle finit par s'habituer à mon membre et je me mis alors à la prendre violemment, faisant claquer son cul contre mon bassin. Elle criait mainteant son plaisir, s'il y avait des personnes dans les chambres à coté, ils devaient se régaler. Elle m'encourageait : Ah oui  .... continue ....

Je la sentais qui se caressait le sexe très rapidement, vu sa respiration et ses gémissements je sentais qu'elle allait bientôt venir. Quant à moi je me sentais encore capable de continuer encore, il faut dire qu'après être venu assez rapidement la première fois, j'avais gagné en endurance.

Alors que je continuais à investir son cul, je la sentis se raidir un poussant un petit couinement, puis elle se relâcha. Pour ma part je continuais mes va et vient quand je sentis sa main venir me caresser les testicules, je sentis alors l'excitation monter soudainement en moi, puis elle se mit à jouer avec, les griffer les palper.Cela m'excita terriblement et me vidais alors dans un long soupir.

je sortis de ses entrailles et tomba sur le lit épuisé, elle vint alors s'allonger à coté de moi et m'embrassa tendrement.

C'était super, me dit elle.

Je lui répondis : Toi aussi, tu as été formidable.

Nous sommes restés là sans rien dire pendant de longues minutes. Puis nous nous sommes habillés, et en nous séparant elle me dit : Merci encore et  .... adieu.

Tellement déçu, je ne pus faire sortir aucun son de ma bouche, me contentant de la laisser s'éloigner. Aujourd'hui encore, elle occupe souvent mes pensées et mes rêves.

Par laurence80 - Publié dans : Mes amis écrivent aussi. - Communauté : Récits Erotiques X
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Mardi 19 juillet 2 19 /07 /Juil 08:59

j'étais à l'école à Lyon et encore puceau à 20 ans à cause d'une timidité maladive. un jour je suis allé dans un sex-shop acheter une revue de rencontres. j'ai écrit à plusieurs annonces en joignant ma photo d'identité (c'est tout ce que j'avais, le numérique n'existait pas en ce temps-là). un bon mois après j'ai reçu un appel, je n'y croyais pas ! Bernard, 35a, voulait me faire rencontrer son épouse Bernadette, blonde, même âge. ils m'ont dit que d'habitude ils rencontraient leurs contacts d'abord en terrain neutre (bar, resto etc) mais là ma photo leur avait plu et ils m'ont donc fixé rendez-vous le vendredi soir suivant à la gare de leur village. pendant toute la semaine j'ai essayé de me pas me masturber en y pensant mais le mercredi j'ai craqué ça a été plus fort que moi..

le vendredi soir donc je prends le train, tout excité et anxieux à la fois. 1/2H de trajet c'était long ! à la gare, je reconnais la voiture du mari, je monte. il est brun, un peu rond, sympa. on parle un peu sur le trajet pour se détendre. enfin on arrive chez eux, la porte s'ouvre, sa belle apparait, très bien habillée. à voir comme ils sont hésitants, j'ai l'impression que c'est une vraie première fois pour tous les trois !

après les présentations, Bernard propose à sa femme de s'asseoir à côté de moi dans le canapé, mais nous sommes tellement intimidés que ni elle ni moi n'osons bouger. Bernard met alors un film X, de jolies scènes se suivent, nous les commentons d'une voix mal assurée, en se jetant des petits regards. Bernard va chercher un matelas pour qu'on soit plus à l'aise dans le salon, ils ne veulent pas faire l'amour à 3 dans leur lit, le sommier ne résisterait pas. à la moitié du film, voyant que rien ne se passe, Bernard demande à sa femme de se déshabiller. elle se met debout, enlève sa robe, apparait en soutien-gorge, slip et porte-jarretelles rouges. elle dégrafe son soutien-gorge, ses seins sont ronds, aréoles claires et plutôt larges, tétons déjà dardés, tout à fait à mon gout. puis elle s'allonge sur le dos, en appui sur les coudes, au pied du canapé, face à la télé.

Bernard me demande alors de me dévêtir aussi et de m'asseoir derrière elle. j'enlève mon pantalon et mon T-shirt, je ne garde que mon slip (mon sexe le tend à craquer). je m'asseois sur le côté gauche de Bernadette, les jambes allongées, et lui caresse les épaules maladroitement. pendant ce temps sa main gauche s'est posée sur mon sexe et me le caresse doucement. plusieurs fois je pose ma main sur la sienne pour lui dire d'arrêter, je suis tellement excité que j'ai peur d'éjaculer sans prévenir. Bernard vient ensuite rejoindre sa femme sur le côté droit et me demande de l'aider à défaire le porte-jarretelles. n'ayant jamais été confronté au problème, il a dû m'aider !

enfin les bas tombent, suivi du porte-jarretelles et du slip. elle a une très jolie toison, c'est une vraie blonde. elle se penche ensuite sur moi, fait glisser mon slip et tente une fellation timide et toute douce. je gémis et pour lui donner le change, je veux la doigter, mais elle mouille très peu et est complètement serrée, impossible d'insinuer un doigt dans sa chatte ! je la supplie d'arrêter au moment où j'allais jouir. pour détendre l'atmosphère je demande à son mari de se mettre nu aussi. Bernadette s'est allongée sur le dos, je suis penché sur elle occupé à caresser doucement sa chatte serrée pendant que je tête ses seins en alternance avec des baisers fougueux. son mari allongé près d'elle sur le côté nous regarde en souriant (entièrement nu mais il ne bande pas). Bernadette sourit quand je la tête, elle ferme les yeux ou bien cherche son mari du regard, comme pour une approbation.

à la fin elle finit par mouiller un peu et écarte enfin les jambes. je me penche davantage sur elle. elle croit que je vais la prendre en missionnaire, mais je passe mes mains sur ses hanches et la retourne sur moi. j'ai envie qu'elle me chevauche et de lui dévorer les seins en même temps ! ce n'était visiblement pas ce qu'elle voulait mais elle me sourit quand même. elle à 4 pattes au-dessus de moi, je l'embrasse encore, je descends un peu pour téter ses jolis seins tendus. d'une main j'essaye de guider mon sexe vers l'entrée de sa chatte mais ça ne marche pas, elle est toujours aussi serrée.

Bernadette décide alors de se relever et de s'asseoir sur mon sexe pour s'y empaler, après approbation du regard de son mari. mais aussi serrée, mon sexe pénètre à peine. elle essaye quelques va et vient mais je ne peux entrer en elle que sur quelques centimètres. en se laissant tomber sur moi, la moitié de mon sexe se fraye enfin un chemin en elle, et après deux minutes de sa croupe qui remue sur moi, mon plaisir finit par exploser en elle. envolé le pucelage ! mais elle elle n'a pas franchement joui.

Bernard me félicite et m'invite à aller me laver. il me montre leur salle de bains au 1er étage. je ne trouve pas de serviette, Bernadette monte m'en apporter une, toujours nue. elle est vraiment bien faite, rétrospectivement je me dis que j'aurais dû à nouveau la prendre dans cette salle de bains, juste elle et moi. je la laisse partir comme un benêt, me lave le sexe, les rejoins en bas. le champagne m'attend !

Bernard s'est en partie rhabillé, Bernadette est toujours nue (en vue d'une suite ?), moi j'ai déjà remis T-shirt et slip en toute hâte (quel idiot !). nous sirotons le champagne assis sur le tapis, je sens bien qu'ils ont l'air un peu déçus, le fait que je me sois rhabillé leur fait sans doute dire que la soirée est déjà finie. de fait, Bernard me propose de me ramener à la gare. lui et moi nous rhabillons, seule Bernadette reste nue pour me faire la bise quand je pars.

sur le chemin, Bernard me dit quand même que c'était très bien et que je pouvais les rappeler pour recommencer quand je voulais. arrivé à la gare, je me rends compte qu'il n'y a plus de train avant le lendemain matin ! je suis donc condamné à mal dormir allongé sur les sièges en plastique jaune. une vraie fin de soirée nullissime, entièrement de ma faute !!

15 jours après, n'y tenant plus, je les rappelle pour les revoir. je tombe sur Bernadette, qui me reconnait bien mais qui me dit qu'elle l'a fait une fois, et que c'est fini. donc j'avais raison, ils étaient débutants comme moi. j'ai raccroché la mort dans l'âme et ne les ai jamais revus ni rappelés.

Pascalix.

Par laurence80 - Publié dans : Mes amis écrivent aussi. - Communauté : Récits Erotiques X
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Mercredi 14 novembre 3 14 /11 /Nov 15:06

j'ai fais l’acquisition d un petit studio que je loue a des étudiants il y a maintenant quelques années. En aout 2010 je suis allé aux quarante printemps d’un ami

 c’était un bal masqué et j’étais déguisée en une espece de femme dominatrice comme bien des hommes aiment ; le genre tout de noir vétue , petit short en cuir et collant noir monté sur des cuissardes à talons , le petit fouet attaché à la taille , bref vous voyez un peu l’image !

 

 

 

de quoi bien déconner quoi !!

 

 

           

Se soir là j’ai fais la connaissance de toute une équipe de jeunes et forcement on s’est bien amusé…Je dois avouer que lorsque je bois un peu je délire facilement  (sans pour autant faire de bêtises) j'ai donc bien déliré avec cette équipe de jeunes  et sympathisé avec eux c’est lorsque l'on a discuté études ...dans un moment de sérieux, que j’ai appris que l’un d’entre eux venait sur la région et cherchait un logement pour septembre…

 j'en avais un .... alors voila !!!

Nous nous sommes donné rdv pour la semaine suivante,  c'était un midi pendant ma pause car agenda serré .Je me souviens trés bien , j'étais en tailleur et on s'est contacté le matin par sms. On s'est donner rendez vous vers 12h30 devant l'appartement  et comme j'étais en réunion avec ma direction j’étais un peu plus élégante qu'en temps normal car j'évite les trop haut talons en général, je marche beaucoup au travail !

 

 il était étonne de me voir aussi pro alors que je déconnais comme jamais la semaines  précédente . Il m'a carrément glissé que je le faisais fantasmer en dominatrice mais que là….

j'ai rie , gênée par son audace a 21 ans ..... de plus je l'ai senti me mater bizarrement en me penchant lui indiquant l'arrivée de gaz sous l'évier…

bref la situation est devenue bizarre…

 

 il a dut interpréter mon rire a sa façon car en riant  il a réussi a me mettre une main aux fesses ( main que j'ai bloqué en lui disant que j'aurais pu être sa mère) le tout j'admet dans le rire et sans jamais se fâcher !!

Il s'est excusé plusieurs fois en me disant que je représentai un rêve, un fantasme à ses yeux

je suis reparti de notre rendez vous plus que troublé je l'avoue…

il ne s'est rien passé se jour la, mais j'étais franchement perturbée, et  honnêtement je crois que s'il avait insisté un peu…  bref !!

 

je l'ai revue une semaine plus tard  bêtement dans la rue…

 il est venu me saluer et m'a invité a prendre un verre chez lui pour s'excuser… de son comportement .

 je me doutais bien qu'il allait tenter de remettre cela et .....aussi bête que cela puisse paraitre  je l'avoue  j'ai accepté ......

 je ne sais pas pourquoi ...la sagesse aurait voulu que je refuse mais il m’est apparut a un bon moment je crois, j’étais en forme, excitée, et  un peu en manque….je l’avoue .

j'ai donc accepté , j'assume j'y suis allé !!!

 

Dans son petit clic clac on a pris une coupe de champagne et lorsqu'il a posé la main sur mon genoux je lui ai souri , je l'ai laissé m'embrasser …cela valait pour acceptation lol…

il m'a donc embrassé ....et très vite. je me suis retrouvée la jupe sur les hanches ....allongée dans le divant, lui allongé sur moi  se frottant sur mon bas ventre , les seins sortis de mon chemisier. On se caressait tous les deux et l'envie est devenue trop forte pour résister…

 j'ai moi même ouvert son jean me mettant à le masturbé  avant de guider sa queue tendue entre mes cuisses.

Il m'a pénétré avec force et fougue  comme cela sur le divan sans un mot , gémissant de plaisir et  tremblant, tendu sur ses avants bras et se propulsant en moi

m'arrachant de longs soupirs…

il a joui en moi en quelques minutes s'excusant tel le gamin qu'il était et on a ris en se câlinant…

J'étais déjà heureuse d'avoir fait vivre un tel moment a ce jeune homme super mignon et tellement jeune….

Nous avons  fumé une cigarette a la fenêtre ... et alors que je pensais repartir il m'ai saisi devant ce même clic clac debout il c’est alors mis à m’embrasser avec vigueur .

 

je me demandais franchement  si je devais cette fois le repousser car l'heure tournait mais la question est vite tombée aux oubliettes lorsqu' il s'est agenouillé devant moi et s'est mis a m'embrasser les jambes…

je me vois encore fermer les yeux et lui caresser le cuir chevelu alors qu'il m'écartait le string pour me lècher comme un fou , son haleine chaude, ses coups de langue brûlante…

en caleçon je le voyais se remettre a bander, il me léchait comme il le pouvait mais j'appréciais … j’en avais même posé le pied sur la petite table à proximité lui offrant une meilleure prise .

 lorsqu'il s'est redressé ;  c'est moi qui l'ai poussé a s'assoir sur la petite table cuisses ouverte,  je me suis alors  agenouillé entre ses jambes ….là clairement lorsque j'ai pris sa queue en bouche je l'ai entendu dire que jamais on ne lui  avait fait cela …

franchement ça m'a ravi et je me suis mise a le sucé avec plaisir jusqu'a ce que je sente le feu en moi ,je me suis alors redressé et à cheval sur lui j'ai guidé une nouvelle fois sa queue en moi il me tenait dans le bas du dos et je me frottais sur lui sa queue en moi gourmande que j'étais ,.j'en voulais plus et après dix minutes à cheval sur lui je me suis retirée !!!

j'ai alors attendu qu'il se lève en lui disant que j'avais envie qu'il me prenne en levrette…

je me suis mise sur la table à quatre pattes et lui ai demandé de venir comme cela…

il m'a prise avec force et tendresse en même temps mais ses coups de reins saccadés m’ont fait crier de plaisir …

debout derrière moi il me tenait les hanches se propulsant en moi comme un fou à un rythme effréné

son bas ventre claquait sur mes fesses et m'arrachait de longs cris de plaisir…..

un orgasme surpuissant m'a transpercé tellement il allait vite en moi

mes bras me lâchaient je l'entendait respirer fort de plus en plus vite et lorsqu'il a jouis , la violence de ses coups de reins étaient fou  il bloquait au plus profond de mon antre et gémissait….

je me sentais brulée par le jus de son plaisir et cela m'a donné un second orgasme….

 

Voila comment pour la première fois , j’ai couché avec un homme bien plus jeune que moi

Par laurence80 - Publié dans : Mes amis écrivent aussi. - Communauté : Récits Erotiques X
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