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Voila quelques jours que mon cher mari boude dans son coin suite à un désaccord . Plusieurs jours ou je me ronge le frein pour ne pas lui exploser a la figure .

Pour le véxer , ou le provoquer , je prend le temps pour me vêtir se matin et même le sachant à l afut de mes moindres gestes j enfile une jolie petite jupe maron qui je sais le rend quelques peu jaloux . La dentelle du bord laissant voir ou deviner une belle partie de mes fesses . J aurais encore pus pousser un peu en enfillant des bas mais là , s aurait eté un peu limite tout de mème ! Plantée sur mes talons haut je ferme mon chemisier tout en passant devant lui dans la cuisine . Certaine de l avoir touché, je quitte la maison toute fière de moi , droite ... La tête haute .

J étais à cette instant loin d imaginer quelle journée j allais passer . Mon mari bossant uniquement l apres midi je savais déja que je ne le reverrais pas avant le lendemain matin au mieux ... Il restera donc sur cette image qui lui donnera à réflechir un tans soit peu . Son épouse quittant le domicile pour le bureau en petite tenue sexy ....

J en aurais presques oublié que j avais une journée bien chargée avec en ligne de mire un local commercial pour un client . Jeune chef d entreprise cherchant à implanter une boutique dans le coin . Son appel de la semaine précédente semblait urgent , j avais donc anticipé la veille organisant trois visite le matin et deux suivantes en réserve au cas ou! Par les temps qui courrent se ne sont pas ces produits qui manques . Bref , juste le temps de préparer mes dossiers , enfin de les sortir de mes armoires que le type fesait irruption dans mon bureau ! Oups ... Quel type !!! Tein binzané. Un mêtre quatrevingt dix . Un torse hyper musclet , les pectoraux saillant sous son polo noir moulant. Un sourir ravageur bref je manque encore de mot pour le décrire ! Pour ne rien guacher à l aise dans la discussion et meme déguageant une prestance digne des acteurs de cinéma . Oups je me demande meme si mon trouble n etait pas perceptible ! Heureusement le type sympa comme tout c est montré patient le temps que je préparais mes propositions . Assis au bureau il ne me quittait pas des yeux alors que j allais et vennais d un casier a un autre .

Je vous passe les détails mais la journée fut fort agréable. J en ai même oubliée mes soucis ma colère . Nous avons , je peu dire , sympatisé et même blagué parfois ... Le midi monsieur m a invité à l accompagner au restaurant et c est ainsi qu au travers de discussions j ai appris qu il vennait dans le coin pour ouvrir sa seconde boutique en vue d y placer son frère en gérance . Originaire du sud il ne faisait que passer afin de trouver le local à déquatre. Sa carrure de rudbymaan c etait la musculation et il en avait fait son metier . J avais l air d une puce à coté de lui et quelques par je me sentais troublé a chacun de ses regards . Regard naturel ou volontaire je ne savais dire .

Toujours est il que lorsques mon mobile à sonné (un sms de mon mari) j ai réagis comme aguacé . Il n en fallait pas plus pour eveiller sa curiosité... Notre conversation c est alors portée sur les soucis de couple et je me suis plus ou moins dévoilé lui confirmant que je ne faisais pas exeption à la règle ...mon couple comme bien d autre manquait de piment.

Avec le recul, je peu dire que nous avons passé la journee à se taquiner , se chercher ...voir même sallumer.... Sentir son regard sur mes cuisses en montant dans la voiture . Sur mes fesses en me suivant .... Nous avons même échangés un sourire complice alors que je passais devant un immence miroir ! Je le regardais dans la glace me mater les fesses et nos regards se sont croisés avec une étrange complicité . Le moment de nous quitter approchait et l un comme l autre sentions cette tension grandir !

C est en rentrant au bureau vers 18h45 alors que nous faisions le point que les choses on pris une tournure plutot inatendu . La tension était palpable . Nous échangions des regards complice alors que mes deux derniers collegues présent dans l agence s appréttait a rentrer chez eux .

Je serais tentée de dire que tous les deux nous pensions vivement que nous soyons seuls .... J avais zn réalité passé une agréable journée sans quasiement ne jamais penser a mes soucis . Sourrire bonne humeur ... Nous avaient accompagné toute la journée .

Alors lorsques ma collégue a fermée la porte d entrée de l agence en éteignant par habithude la lumiere du grand hall . Une fois de plus nos regards plein de tension se sont croisés . J étais appuyé les fesses contre mon bureau et m aprétais à aller jusques l intérupteur afin de redonner un peu de clarreté a mon espace de travail lorsques mon client c est levé pour venir se placer face a moi , a quelques centimetres de moi .. Me barrant le chemin de l interupteur. Impossible même de me decoller les fesses du bureau . Mon client me fixait , il faisait tres sombre mais le brillant de se yeux ne m échappait pas ! Je sentais la chaleur de sa présence tous contre moi , sa main c est posée sur ma hanche en me murmurant : "tu me plait"

Sans attendre de réponce de ma part j ai sentis ses lèvres se poser dans mon cou et doucement venir vers ma bouche . S en était teop pour moi , loin de tous soucis j abandonnais ma bouche à ces lévres sucrées ... Nos langues se nouaient dans un long baiser plzin de fougue.

Dans une ultime analyse de la situation je voyais qu en coupant la lumière de l entrée ma collégue nois avait plongés dans l obscurité . De mon bureau ou nous nous trouvions , nous pouvions voir les passants sur le trottoir mais ils leurs étaient eux , impossible de nous appercevoir.

L observation a été brève car mon cher ami s attaquait déja a mes cuisses qu avec passion il m était impossible de ne pas ouvrir . J etais assise sur mon bureau , sur mon lieu de travail , un type tres plaisant placer entre mes cuisses me faisait pression pour que je les ouvres . Je n ai même pas eu la force de réflechir ... Ses mains puissantes me serraient l une la hanche , l autre remontait déja sous ma jupe . Nos langues se cherchaient , se trouvaient avec une telle fougue. Cuisses ouvertes il c est mis a me masser la vulve au travers de mon collant , une main sur sa nuque je rendais inconsciement le baisé encore plus fou .nos respirations fortes crevaient le silence ... Ses mots raisonnent encore dans ma tête ..."j ai envie de toi " abandonné à son emprise je devais sans me rzndre compte le griffer ... La folie s emparrait de nous . N un clin d oeil mon chemisier c est ouvert sous ses doigts abiles . Cambré face a lui je me délectais de ses caresses de ses baisers attegnant la pointe de mes seins qu il pincait des lèvres ... Certaine que la chair de poule me faisait frisonner de plaisir ... Je ronronnais tout en me tortillant sentant son anatomie de mâle se frotter â mon entre cuisses que j ouvrais sans retenues . Si le passage du chemisier et soutien gorge n a posé aucun soucis il n en était pas de même pour mon collant qui lui barrait la route ... Je le sentais tenter de passer la main dedans mais il était tellement haut et lui tellement excité qu il buttait sans cesse et se comptentait de me masser avec force mon petit nid d amour qui à se moment précis devait couller de désir . De mon coté je ne cessais de profiter de son corps d apolon , lui massant le torse , le ventre et cherchant a glisser la main dans son pentalon . Notre petit jeu a duré pret de dix minutes . Dix minutes pendant lesquelles j avais au moins réussi a ouvrir sa ceinture et palpé sa queue au travers de son calecon . L enjin était tendu et bouillant , de belle taille et dans un ultime baisé , j arrivais a sortir l objet de mes désirs de sa cachette ! Je crois que lorsques je me suis amusé a frotter le gland de sa verge tendu sur ma petite grote , j ai franchis un cap a ses yeux ! Mon collant l avait passablement énervé et dans un elan de furie il m a poussé le dos à plat sur le bureau ! Des doigts il a complétement arraché mon collant en grognant que j étais une belle coquine . Collant arraché, il a eu vite fait d écarter l unique et dernier rampar à sa convoitise . Je gémissais , me cambrait attendant le moment ou sa queue me brûlefait les entrailles . Il m a alors levé les jambes et tiré sur le bord du bureau . La queue en main j ai à peine senti son gland me forcer ... Dans un long râle ... Il entrait en moi avec force. Je me mordais les lèvres étoufant mes cris ... Je râlais de bonheur les mains accrochées sur le rebord de mon bureau . Il déguagait une telle puissance ! Yeux clos je me delectait de ses assauts . Je n étais plus moi même , me tenant les cuisses ouvertes ralant et criant lorsqu il butait au plus profond mon antre... Alors que je le pensais au maximum de sa puissance j etais encore surprise par une acceleration tout en me disant qu il allait me balancer son foutre sur un ton bien roque... C était trop fort pour moi ... Je lachait prise la crispation disparaissait et grande ouverte j hurlais transpercé par un orgasme plus que violent ... Dans un dernier élan il c est déguagé de moi et c est mis a me balancer de long jet fruit de son plaisir sur mon entre jambes ... Son sperme me brulait et je restais les cuisses en l air a recevoir ses projections de sperme .

Il m a bien fallut 5 bonnes minutes pour reprendre mes esprits . J etais couverte de sperme et tentais desespérément de m essuyer avec des mouchoirs papier .

Nous nous sommes encore cajolé une quinzaine de minutes se mettant d accord pour évidemment garder cet événement pour nous !

Se soir là je suis rentré juste cinq minutes avant mon mari . Juste le temps de me débarasser de mon collant arraché et me jeter sous la douche . Dificile de passer une bonne nuit derriere cela pourtant malgres la gene ... J etais comblé .. Du moins sexuellement lol ... Meme au lit les images se bousculaient dans ma tete ... Et j avais peine a ne pas me caressser en revivant secrétement la scene !

Le trouble était tout aussi fort lorsque je suis. Rentré dans mon bureau le lendemain ...