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Voila trois semaines que mon époux est en déplacements , trois semaines que je reste plus ou moins sage .

Dans le même temps cela fait quinzes jours que je dialogue avec un vieux vicieux sur le net qui se reconnaitra j'en suis certaine . cet homme à je l'avoue le dont de me mettre dans des états pas possible ... Je m'excite en le lisant et lui répondant . Cela comble un peu mes longs moments de sollitude .

Pourtant , je suis forcé d'admèttre qu'à force de dialoguer aussi ouvertement d'autres envies se font sentir .

Vendredi en fin de journée au bureau c'est mon jeune stagiaire qui allume la mèche . Me sachant seule le weekend, il m'invite à passer la soirée en sa compagnie dans un bar à thème de notre région . Je déclinne l'invitation , il est jeune et j'aurais l'impression de sortir au bras de mon fils ....

Cette soirée de vendredi je la passe pourtant seule devant la télévision , le PC sur les genoux à m'ennuyer plus ou moins fermement . je me couche bien tard , des images plus ou moins coquines en tête . Le lendemain ces idées ne m'ont pas quittées , je songe à se qu'aurait put être cette soirée en compagnie de mon stagiaire , je songe à l'improbable relation que j'aurais peut être pus vivre lors d'une telle soirée . Mon époux ne rentrant que le Dimanche midi , c'est mon fils qui m'a décidé a me bouger un peu . Il devait être 10 heures lorsqu'il m'a téléphoné pour m'annoncer qu'il ne rentrait pas avant le lendemain soir et passait sa journée avec sa petite amie sur la cote . Malgrés mon accord de maman , je me suis sentis frustrée à me retrouver une fois de plus seule . Plus la journée à avancée plus l'idée de sortir un peu me tentait .

C'est vers 16 heures que je me suis décidée à mettre un sms a mon jeune collaborateur lui demandant s'il comptait sortir se soir . La réponse ne c'est pas fait attendre , Il était prêt à passer me prendre vers 20 heures pour la même destination que la veille . Invitation acceptée dans les minutes qui ont suivit . Des lors, je me refaisais des films sur la soirée que j'aurais pus vivre avec mon jeune homme qui je le sais, ne reste pas de marbre devant moi .

Dés 18 heures j'étais à me préparer dans la salle d'eau , me faisant radieuse , sexy la tête pleine d'images ...Une véritable gamine qui va vivre son premier bal rire .

Je lui ai ouvert la porte vers 19h45 , toute pomponnée dans une petite robe prêt du corps assez saillante . Les jambes gainées de bas noir, perchée sur mes talons hauts , j'ai de suite vue son regard s'illuminer . Nous avons pris un verre tranquillement dans la cuisine avant que je ne mette mon long blouson et ne monte en voiture .

Les petits regards , les allusions ne me trompaient pas sur l'attirance qu'il avait pour moi . Nous avons passés une exéllente soirée , champagne , danse , rire ....tout étaient charmant . Entourré de jeune gens je n'étais peut être pas top à ma place mais je sentais bien des envies dans les regards de certains . Quoi de plus sympa que de se sentir ainsi désiré ? Quelques danses assez serrées pendant lesquelles certains osaient me questionner un peu sur mes états de services rire ... mariée ou non , libre ou pas ....etc .

C'est pourtant a son bras que je suis arrivé et a son bras que je suis partie . Il devait être 3 heures du matin . Il n'était plus dans le même etat d'esprit , etonné de m'avoir vue autant bouger rire et danser . Son regard etait encore plus lisible et admiratif . L'alcool aidant nous avons rit en parlant de certains mecs qui c'estaient ontrés collant durant la soirée . Il ajoutais ensuite qu'au vue de mon corps bouger cela lui parraissait normal que j'attire ces jeunes mâles fantasmeurs ...

Plus on avançions vers chez moi , plus je sentais une certaine tension s'installer . De longs blancs dans nos propos , de petit regards chauds sur mes cuisses ...

C'est en entrant dans ma rue qu'il a enfin osé poser la main sur ma jambe en me disant qu'il aurait bien terminé la  soirée un peu plus intimement avec moi . Même si l'envie de lui céderétait forte , le fait qu'il soit mon stagiaire me gênait tout de même sachant que nous allions nous cotoyer encore quelques mois dans le boulot . J'ai donc pris l'athitude d'une femme mariée et sérieuse , freinant sa main sans pour autant l'enlever et lui rétorquant que j'étais mariée , qu'il était jeune et qu'en plus nous allions travailler ensemble encore pas mal de temps . C'était quit ou double rire ...Soit il se calmait pour mon plus grand désespoirs soit il argumentait t forcait un peu l'avenir ...

Il n'a pas perdu le nord bien au contraire . Il me déclara sa flamme , ses envies , son fantasme que selon lui je représentais . Ma main pressait la sienne , l'instant était grave , je lachais ma dernière retenue en lui expliquant que travaillant ensemble je n'imaginais pas que cela se sache au bureau ! Nous étions stationnés dans l'entrée de la maison et il me répondait clairement que cela ne regardait personne et qu'il saurait se tenir à la place qui était la sienne ...

Je me mordillais la lèvre gêné de lui dire d'entrer un moment certainement , je réflechissais sans réellement réfléchir lorsqu'il m'a demandé si je lui offrais le café .

S'en était trop , la pression c'est échappée d'un coup et je lui ai dis dimplement OK tout en descendant de la voiture . L'instant était fort , je tournais la clef dans la sérrure mon jeune stagiaire derrière moi que j'imaginnais surexcité rire . je tremblais comme une feuille , les images , les films que je m'étais faient dans la journée me défillaient dans la tête .

J'ai enlevé ma longue veste dans l'entrée et je suis allée directement dans la cuisine sortant filtre et café sans jamais me retourner sur lui . Une fois tous cela fait, j'ai enclenché le petit bouton de mise en service et me suis enfin tourné face à lui tout en restant appuyée sur le plan de travail . Il était là à un mêtre de moi , me regardant de haut en bas . Aucun sourire , je sentais que pour lui aussi l'instant était grave . On c'est fixé un instant et il a fait le pas en avant passant la main sur la hanche ......Un long regard de braise et un baisé volé, un second suivit d'une longue étreinte nos bouches liées ... Son souffle dans mon cou, ses timides caresses sur mes hanches et dans mon bas du dos , je serrais les cuisses tout en me délectant du moment . Doucement il remontait ma robe lorsques je me suis retourné vers la cafetière ...le café passé, j'ouvrais l'armoire pour sortir deux tasses sans qu'il ne cesses de se coller a moi tout en me caressant les fesses au travers de ma robe . Un instant de répit pendant que je servais les tasses , il me lachait et s'assoyait sur une chaise ...

Je prennais de grande bouffés d'air plus que troublé et trés envieuse en réalité !

j'ai donc versé le café sur le plan de travail avant de lui déposer la tasse sur la table devant lui , j'ai aussitôt bue la mienne debout à ses cotés . La tasse à peine ingurgitée , qu'il glissait une main derrière ma fesse m'attirant vers lui . Désiquilibré je posais les mains sur ses épaules et restais ainsi appuyée . Je sentais ses doigts froids sous ma robe , il explorrait mes fesses , je me laissais aller lui caressant les cheveux . De l'autre main il se débrouillait pour déscendre un peu mon cole de robe fourant le nez entre mes seins ...S'en était de trop , je succombais lui plaquant le nez sur ma poitrine et en enjambant sa jambe laissant sa main approfondir sa visite . Je me suis alors mise a trembler de désir , d'envie . ses doigts avaient écartés de leur chemin le pauvre bout de tissus, unique barrière à mon intimité . Je me suis alors mise a me frotter les seins sur sa langue , son nez tout en gesticulant des fesses sous la pression de ses doigts que je sentais sur le bord de mes lèvres humides a volontées . L'excitation a vite embrasée la pièce, nos soufles court ne trompaient ni l'un ni l'autre sur nos états respective . Je me tortillais tout en lui caressant la nuque , la poitrine , j'avais même passé la main dans sa chemise étonné par la douceur de sa peau exempte de tous poils . Des lors je ne contrôlais plus trop la situation , ses doigts s'afféraient en moi , je me cambrais reçevant ses caresses avec un extrème plaisir . je grognais à chaque pénétration écartant les cuisses de plus belle . Mon petit stagiaire d'ordinnaire si réservé sortait de sa tanière ... il se mit à me mordiller les seins tout e me doigtant comme un fou . Je n'avais d'autre issus que de me prêter à ses gestes posant un genoux puis un pied sur le bord de sa chaise . Robe sur les hanches il s'acharnait à me doigter et me lecher tantot les seins tantôt le bas ventre . Je le sentais tendu et prêt a me manger crue, se qui entre nous me rendait folle . J'avais peine a me tenir droite tellement il me bougeait en tous sens tout en me caressant . Quelques minutes plus tard je me retrouvais les fesses posées sur la table de cuisine, mon charmant stagiaire s'appliquant avec une certaine aisance à me butiner l'abricot. Cuisses ouverte , je me délectais tout en me pourléchant les levres . Il me tenait les cuisses en l'air de ses mains robustes et m'administrait des coups de langue m'arranchant de longs soupirs ... J'étais limite orgasme lorsqu'il a cessé de me butiner ainsi .  j'etais encore dans le brouillar et lorsques j'ai ouvert les yeux , il se tennait entre mes cuisses la queue en main ... je n'ai pas eu le temps de compter jusques deux . sa verge épaisse se plantait en moi avec vigeur et une certaine raideur qui m'arrachait une fois de plus un long soupir . Mon stagiaire préféré perdait alors les pédales pour mon plus grand plaisir ....me tennant les mollets assez haut il se ruait en moi sauvagement tout en poussant de petits cris qui en disaient long qur le plaisir qu'il prennait .... Remarquant que mon plaisir allait en croissant , c'est par les hanches qu'il me meintenait sur le bord de table , les jambes sur ses avants bras , il se propulsait avec une telle force en moi que chaques coups de butoir m'arrachait un cri que je ne pouvais contrôler . complêtement abandonné , les bras en croix , je subissais ses assauts les yeux clos , le visagez grimassant sous le plaisir fou qui me torturait le ventre . Je m'abandonnais complètement a ses pulsions . durant pret de 15 minutes il s'en ait donné a coeur joie tout en me faisaint crier de bonheur .

je l'ai bien sentis venir en moi et j'allais le laisser faire mais au dernier moment il c'est retiré lachant prise et la queue sur ma vulve il c'est mis a crier a son tour . J'ai a peine relevé un peu la tete de la table afin de voir qu'un jet de sperme venait s'ettendre sur mon menton . Je retombais en arriere le laissant prendre son plaisir avec cette senssation de brulure sous ses jets qui n'en finissaient plus . Le bas ventre souillé , la robe bonne pour le lavage .... j'en avais un peu partout .

Quelques minutes plus tard , je me redressais plutot pleine de gêne , j'ai filé dans la salle de bain m'essuyer tans bien que mal . Nous avons repris nos esprit et nous sommes mis en accord pour ne rien laisser parraitre au bureau le lendemain .