Lundi 26 septembre
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Ludovic, un nouveau stagiaire dans la société est arrivé depuis prêt d'un mois.
Jeune diplomé, sur de lui , prêt à refaire le monde, son petit regard coquin ne me trompait pas
. Durant sa période de formation, c'est moi qui l'ai pris sous mon aile, ne me demandez pas pourquoi, c'estait en période de congés et ayant menée ses entretiens, il m'avaitquelques peu troublé
de par cette forte personnalité, son regard persant . Plutôt mignon, je l'avoue même si les jeunes ne sont pas ma tasse de thée . Plutôt bien batit, souriant et plein d'humour, le felling
passait bien entre nous. Il ne râtait pas une occasion de plaisanter mais faisait preuve de sérieux lorsqu'il sagissait de travail. De mon coté, j'admet qu'il ne me laissait pas indifférente.
Ses regards profonds,
ses allusions parfois, je m'en amusais mais je trouvais cela plutôt osé de la part d'un jeune homme en contrat . Dés le début j'ai vue en luiun mec un peu vicieux, ses regards sur mes cuisses,
sur mes décolleté . Que se soit au bureau ou sur la route je le surprennais régulièrementa plonger les yeux sur moi de façon plutôt gourmande. Je trouvais cela plutôt amusant et ne m'en
offusquais pas. Le regard évoquateur d'un jeune homme sur mes cuisses supportant ma quarantaine bien sonnée était plutôt plaisant je l'admet. J'ai donc jouée se jeu quelques peu imprudent
je l'admet . Je le laissais plonger le regard sur moi , je le provoquais même quelques peu de part mes tenues plus ou moins facile d'acces. j'aimais lire dans son regard toute l'envie , le
désir mais je tenais mon rôle de suppérieur et ne laissais parraitre aucun émoi. Pourtant de jours en jours il se livrait un peu plus laissant parraitre les cotés plus ou moins obscure de son
personnage, lors de nos rigolades, de nos poses il me laissait entendre qu'il était un grand fétichiste ... Paroles lancées, je ne pouvais que chercher à en savoir d'avantage. Ma curiosité de
femme
prennait le dessus ! C'est sans se cacher , sans chercher a fuir qu'il m'a répondu simplement qu'il était passionné par les dessous féminin les talons éguilles, me plaçant au passage que
j'avais de superbes pieds mis en valeur dans les souliers noir à talons que je portais se jour là. Limite si ce n'est pas moi qui me suis retrouvée la plus confuse, oui , j'ai dus rougir et
fuir son regard se jour là. Je savais dés lors se qu'il regardait fixement chez moi ! Un peu décontenancé par la situation que j'avais quelques part moi même provoqué.
Les jours qui ont suivis, j'étais pour le moins gênée lorsques je sentais son regard sur moi , généralement su le bas de ma personne, pourtant intrigué certainement , je réussissais à rester
impassible, gardant mes états d'âme cachés et même ne me privant pas de porter des hauts talons que d'ordinnaire j'évite de porter au travail. Le petit jeu qui c'était installé entre nous ne me
déplaisait pas, j'étais partagé entre l'idée de remettre les choses en place de suite et le laisser fantasmer ou rêver ....Cela ne mangeait pas de pain et c'était sommes toute agréable de le
savoir quelques peu excité par mes souliers . Cela faisait pourtant naitre en moi de droles d'idées. Je l'imaginais me sentir e les pieds
agenouillé devant moi et pire si vous voyez un peu ! Bref , je me reprennais et la journée se déroulait normalement. Jusqu'au jour ou ! Ces images m'envahissaient la tête lorsques j'étais
seule au lit, j'avouerais même qu'il m'arrivait de me caresser tout en imaginant se genre de scènes. Ces scènes ont pries une autre dimention un soir de semaine . Nous avions piétinnés tous
les deux le trois quart de la journée,j'étais fatigué de cette grosse journée de travail et de retour à l'agence vers 18 heures, je m'étais précipité dans notre arrière pièce, là ou nous
prennons nos poses et buvons notre café. Loin de penser à mal , je m'étais déchaussé pour soulager un peu mes plantes de pieds en feu.
Bien mal m'y prenne ! Ludo, c'est précipité sur mes souliers en me disant que j'exagérais et qu'il ne pouvait se tenir. Je le vois encore rammasser le soulier droit et le porter a ses narines. Un
long frisson m'a parcourut . Sous mes yeux, il nifflait et même léchait la semellle de cuir intérieur du dit soulier . Ma seule réaction fut de lui dire d'être prudent , un des collègues pouvait
entrer à tout moment. Se cher Ludo n'était visiblement même pas gêné, il c'est placé dos à la porte et à continué sans verguogne son petit plaisir. J'étais pour ma part assise dans le fauteuil
guorge nouée,à le voir ainsi sentir, lécher mon soulier . Par moment il se pinçait le sexe au travers de son jean sans jamais se préoccuper de moi . J'étais sur une autre planète, jamais je ne
l'aurais imaginer se comporter de la sorte ....et pourtant !!!
Je crois que dès lors, une certaine complicité est née entre nous, sans me rendre compte, j'avais accepté se petit jeu qui en appelait d'autre. Dés le lendemain , alors que nous revennions d'une
visite, une fois de plus sans gêne il m'a demandé dans la voiture si je pouvais lui faire le plaisir de lui prêter mon soulier . J'en ai ris sur le coup mais devant son insistance, devant se
regard triste , je me suis déchaussé tout en conduisant pour lui donner satisfaction. Une fois de plus il léchait la semelle , humait l'odeur de mes pieds , une fois de plus je rougissais devant
lui . Il m'a rendu mon soulier à quelques centaines de mètres de l'agence, en glissant le pied dedans je sentais l'humudité
sa salive ... drôle de sentiment que je n'explique pas. j'acceptais , je me rendais complice de se jeune homme , pire car au fond de moi j'épprouvais un certain plaisir , une certaine excitation
à le voir se comporter de la sorte ! Jamais il ne tentait de porter la main sur moi pourtant par moment , au bon moment je dirais, il n'aurait peut être pas essuyé de refus ! Je ne vous dit pas
le nombre de fois ou je me suis refais la scène l'imaginant ôter et remettre lui même mes souliers.
Notre petit manège a duré des semaines avant de franchir de nouveaux caps.
Le temps me manquant n se moment , je reviendrais ici même , tapoter le clavier et vous livrer la suite ......
